Une recette de saison, originale, acidulée et délicieuse … et une bonne idée de petit cadeau cadeau « home made » pour vos proches.

C’est la première fois que je cuisine ce fruit bien rare chez nous. J’ai pu m’en procurer un petit kilo auprès d’une de mes abonnées qui s’est lancée dans la vente de produits d’importation portugais vendus par la toute jeune société Ibéribon. Ils sont entièrement non-traités. Strasbourgeois-e-s d’ailleurs, si vous êtes intéressés, voici son contact Instagram pour la contacter. Elle vous fera parvenir ses tarifs très avantageux ainsi que les modalités de livraison. Pour mes produits d’hiver, je passerai désormais par elle. Nous avons commandé des clémentines, des citrons, des patates douces et ces figues de barbarie. Tout est arrivés très vite et les fruits et légumes étaient magnifiques, en très bon état et dans des cageots en bois pour une consommation 100% zéro déchet.
Ingrédients :
- 1 kg de figues de barbarie
- Environ 500 g de sucre
- Le jus d’un citron
Préparation :
Ôter la peau des figues de barbarie. Si elles sont épineuses, portez des gants pour éviter les échardes. Couper les en morceaux.
Les placer ensuite dans une grande casserole à fond épais. Ajouter un petit fond d’eau. Faire cuire le tout à feu moyen-vif pendant une trentaine de minutes. La chaire des figues doit libérer toute son eau.
Une fois qu’elles sont bien réduites en compote les passer au chinois pour en récupérer le jus et ôter les pépins.
Peser le jus, y ajouter le même poids de sucre, le jus du citron et le zeste d’1/4 du citron. Porter à ébullition puis laisser réduire au moins 1h à feu moyen. Remuer de temps en temps et ôter l’écume à l’aide d’un écumoire. La confiture sera prête une fois que les bulles de l’ébullition seront plus lourdes et peineront à jaillir.
Stériliser des pots à confiture en verre et y verser la gelée bouillante. Refermer aussitôt et retourner le pot pour en faire échapper l’air.
Conserver et consommer comme n’importe quelle confiture. Ici dans du fromage blanc de chèvre.


Une bien belle recette.dommage que ce fruit soit si désagréable à toucher. Mais je tenterai un jour, merci et bon week-end
Oui il faut s’armer de patience et surtout d’une bonne paire de gants. Mais le résultat en vaut la peine. :)